Sur nos trois jours à Scopello, la prévision météo était constante : beau mais venteux.
Le Zingaro étant donc fermé pour risque d’incendie, on pensait ne pas pouvoir visiter le parc. Un peu déçus et pas trop pressés on prend notre cafè (kaf’fɛ) et on vérifie tout de même si le parc est fermé. Surprise c’est ouvert !
Préparation des sacs en vitesse avec un maximum d’eau pour une rando de la mort à 35-36°. On se gare au plus proche du parc, 7€ la journée pour une place dans un champ. Leur terminal de paiement est « hs », je vide mon portefeuille dans les mains de racket-man : j’ai 4,5 euros … ça passe !
À l’intérieur du parc on hésite entre le sentier à l’intérieur des terres avec plus de dénivelé ou celui du bord de mer, plus fréquenté et plus plat :
Aucune ombre sur le parc : on choisi de rester en bord de mer pour éviter le bis repetita de notre rando dans l’Esterel début juin 2018 où j’ai pris un coup de chaud !
Midi, il est enfin temps de manger nos super sandwichs fait sur mesure au Market Scopello. Trop bons !
Premier plongeon dans une crique et je me blesse sur un rocher en faisant le con à escalader 😀
La suite de la rando est compliqué pour Emma qui nous fait une rage de dents surprise, certainement suite aux changements de pression dans l’avion 2 jour plus tôt. On songe à faire demi tour mais un garde du parc nous dit que « la dernière plage est la plus jolie » ça remotive Emma, sauvée par un Nurofen flash de notre petite trousse de soin.
La rando se fini par une grande grotte, formation rocailleuse peu profonde mais très haute en bord de falaise.
On profite de la plage puis on fait le retour en 1h30 à peine.
Le soir on mange Solea Azienda Agricola, partie restaurant d’une petite épicerie de producteur où salle de restaurant est une serre décorée de fleurs et de plants de légumes. Le repas n’est pas mémorable mais l’ambiance, oui 🙂
Incendie en rentrant du resto, on espère que ça prendra pas trop d’ampleur.
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